30 juillet 2017

Montevideo, une capitale paisible


Nous ne resterons que trois jours à Montevideo, juste le temps de nous balader et de découvrir un centre-ville doté d'une architecture coloniale espagnole et portugaise, rappel de la genèse historique agitée de l'Uruguay. Les rues sont très tranquilles et il doit être difficile de s'y sentir en insécurité ! 

Montevideo est située sur les rives du Rio de la Plata, face à la très grande et très animée Buenos Aires. Mais la comparaison s'arrête là. Autant Buenos Aires vibrait d'une agitation permanente, autant Montevideo s'est révélée particulièrement calme. Sans doute, prend-elle vie sous le soleil de l'été, quand ses nombreuses plages peuvent accueillir touristes et uruguayens en mal de farnientes. Là, en mai, les touristes et les animations se font rares. 

Le port de Montevideo
Endroit phare du centre-ville, la plazza Independencia. Elle abrite la tombe du célèbre général José Artigas qui avait mené la lutte vers l'indépendance à partir de 1811, avant d'être exilé en 1820. L'Uruguay se libère définitivement du Brésil et de l'Argentine en juillet 1830, via un traité ratifié par le Royaume Uni.







Vers le port et le marché couvert, nous traversons quelques rues piétonnes, parfois décrépites, des magasins et très, très peu de restaurants. L'usage est davantage de s'inviter à la maison pour partager un barbecue. La gastronomie n'est pas un art majeur en Uruguay... 


Devant le musée du carnaval, Louison affine son art de la maitrise des bâtons du diable.




Nous mangeons dans le marché couvert devant lequel un groupe de musique redonne vie à la rue.








  
Avant de quitter la ville, Eric retrouve ses racines de brocanteur dans un immense marché de tout et de rien... On y trouve même des livres d'occasion !!

Lacets de chaussures, en vrac

Lunettes à volonté

Les incontournables téléphones portables
Mur de livres d'occasion

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